L’ETAT PROFOND POURRAIT TOMBER
♦ “Le général flynn CONNAÎT L’ENDROIT OÙ TOUS LES CADAVRES DE CLINTON, D’OBAMA, DE BIDEN, SONT ENTERRÉS, EN UKRAINE, EN SYRIE, EN LYBIE”
Émission
« Bercoff dans tout ses états » sur SUD RADIO
Invité: Charles Gave sur l’#Obamagate
« C’est l’Etat profond des Etats-Unis qui pourrait tomber”
Pour approfondir
l’affaire Michael Thomas Flynn
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Transcription de la vidéo
André Bercoff: Alors est ce qu’on est en fin, ou on est au début!? Eh oui, il s’est passé beaucoup, beaucoup de choses. On en parlait, je vous le rappelle, le 14 mai. Et je crois qu’on était parmi les premiers, en tout cas dans les médias, a vous le raconter.
Je vous ai raconté, il y a donc six jours ce qu’il se passait, effectivement, entre le FBI, la CIA, dans le Oval Office d’Obama, dans ces jours de janvier 2017, avant que Donald Trump ne prenne véritablement le pouvoir.
Il s’est passé beaucoup, beaucoup de choses et il continue de se passer beaucoup, beaucoup de choses. On va en parler avec quelqu’un qui a fait aussi une magistrale synthèse, deux jours plus tard. C’est Charles Gave qui est financier, qui est écrivain, qui est essayiste et qui préside l’Institut le Think Tank, l’Institut Des Libertés et, Charles Gave, vous, vous avez carrément parlé de tentative de coup d’état!
Charles Gave: Bah oui c’est un peu ce qu’il s’est passé puisqu’on essaye d’empêcher un homme qui a été élu légalement, d’exercer les pouvoirs en lui mettant des bâtons dans les roues pendant les années qui ont suivi, comme chacun a pu le voir. Donc, oui, il y a eu une tentative de coup d’état aux États Unis, je crois que ça c’est complètement indiscutable.
André Bercoff: Alors il faut peut-être raconter l’histoire parce que l’on a quelques minutes, mais on a un peu plus que ça pour raconter. En fait, qu’est-ce qu’il s’est passé? Il s’est passé, si j’ai bien compris, en résumant, en essayant de synthétiser la chose: au parti démocrate et à la maison blanche, en fait, on ne l’a pas supporté avec Hillary Clinton, qui je le rappelle, était la rivale de Donald Trump dans l’élection présidentielle de novembre 2016… on n’a pas supporté qu’un Trump arrive au pouvoir et qu’il amène un général Flynn comme conseiller à la sécurité nationale et que ces gens là arrivent au pouvoir, c’était insupportable. II fallait tout faire pour les renverser, ou en tout cas, pour les destituer ou pour les empêcher de parler. C’est bien ça, Charles Gave!?
Charles Gave: C’est exactement ça, c’est à dire que je crois que la majorité démocrate, qui avait été au pouvoir pendant huit ans, avait commis un certain nombre de crimes qui vont maintenant apparaître les uns après les autres…
André Bercoff: Vous dites « crimes », carrément.
Charles Gave: oui, oui, oui, tout à fait, on pourra peut-être en parler, aussi bien en Ukraine qu’au Moyen-Orient etc. Et ces gens là étaient à peu près certains que madame Clinton serait élue. Donc, il n’était peut-être pas nécessaire de couvrir leurs traces avec beaucoup de soins, vous savez, puisque les mêmes équipes allaient rester au pouvoir et donc ça ne sortirait jamais. Et puis il y a eu ce coup de tonnerre extraordinaire de l’élection de Trump. Et, à ce moment là, je crois qu’ils ont du avoir une peur bleue, ils se sont dit: il faut absolument qu’on empêche ce gars de gouverner. Et donc, tous les gens qui avaient été mis en position clé pour empêcher l’information de sortir, qu’il s’agisse de Comey qui était le patron du FBI, qu’il s’agisse du patron de la CIA, qu’il s’agisse du patron du renseignement aux états unis ,etc. ont commencé une espèce de campagne de diffamation contre Trump en disant qu’il était un agent russe. Et, à partir de là, c’est là…
André Bercoff: L’enquête de Mueller.
Charles Gave: L’enquête de Mueller et ça a empêché Trump de gouverner pendant deux ans. Au bout de deux ans, il a réussi à remplacer un ministre de la justice, qui était complètement inefficace, qui s’appelait Jeff Sessions, il était un ancien sénateur du sud des États Unis, pour le remplacer par un homme tout à fait éminent qui s’appelait William Barr, qui avait déjà été
ministre de la justice aux États Unis. Et depuis ça fait donc à peu près un an que Barr est en train de nettoyer les écuries d’Augias, et en nettoyant les écuries d’Augias, les documents commencent à sortir et ces documents sont tous plus accablant les uns que les autres.
Donc, il y a, en fait, deux affaires dans cette affaire, si vous voulez. Il y a la première: c’est la tentative de coup d’état contre Trump, et la deuxième, qui est encore plus tordue, à mon avis, mais sur laquelle documents ne sont pas encore sortis : c’est l’affaire du général Flynn. Parce que le général Flynn, qui était un démocrate, il faut le savoir, il était d’une famille démocrate. Cétait un homme tout à fait…
André Bercoff: Oui. Alors racontez-nous Flynn. Flynn était déjà en poste sous Obama, c’est bien ça!?
Charles Gave: Comme il était démocrate on l’avait mis général, c’était lui qui avait été un des responsables de ce qu’on avait appelé «The Surge» pendant la guerre en Irak, c’est à dire de la contre attaque des États Unis pour éviter d’être défaits en Irak, et donc, il avait été mis là parce qu’il était démocrate et plus probablement il s’est engueulé de façon tout a fait épouvantable avec Obama parce que Flynn était très inquiet du danger islamiste, alors qu’Obama ne l’était pas du tout. Donc, il a été viré mais ayant été patron des services secrets de l’armée, IL CONNAÎT L’ENDROIT OÙ TOUS LES CADAVRES DE CLINTON, D’OBAMA, DE BIDEN, SONT ENTERRÉS, EN UKRAINE, EN SYRIE, EN LYBIE, est-ce que vous pouvez imaginer!? Et donc il y a une double manœuvre là, il y a bien sûr, empêcher Trump de gouverner mais la deuxième manœuvre, c’est surtout d’essayer de déconsidérer Flynn pour que ses témoignages, sur ce que ces gens là ont fait, ne soit pas recevables, en quelque sorte. Et donc, vous avez une double manœuvre…
André Bercoff: Oui, une double manœuvre, Charles Gave, mais ce qui a déclenché l’affaire, donc dès 2016, dès avant l’élection de Trump, c’est qu’on avait appris que Trump allait prendre Flynn comme conseiller national à la sécurité. Donc il allait peut-être parler et dire ça. C’est ça!?
Charles Gave: il allait certainement parler et d’ailleurs, au moment de la passation de pouvoir, Obama a dit à Trump que la seule personne qu’il ne devrait pas engager, c’était Flynn. Donc Obama…
André Bercoff: Ah oui, d’accord! Il l’a déconseillé.
Charles Gave: Il l’a déconseillé: surtout vous ne le prenez pas, ce n’est pas un type sûr, et tout, et tout. Donc ils étaient morts de peur de Flynn et il a été engagé comme conseiller de la sécurité, c’est à dire le gars qui parle à l’oreille du président pour tous les problèmes de sécurité aux États Unis qui a un accès permanent à lui. Il s’apprêtait sans doute à dire un certain nombre de choses et ce qui s’est passé c’est que Flynn, dans ses activités a commencé à donner des coups de téléphone à l’ambassadeur de Russie parce que Obama venait prendre des mesures contre la Russie, vous savez, à cause de l’Ukraine…
André Bercoff: Oui, et puis il devait parler à tout le monde comme conseiller national à la sécurité!
Charles Gave: d’abord il devait parler mais il a parlé un peu plus car Obama venait de prendre des mesures de sanctions contre la Russie en ayant demandé à l’Europe de faire pareil, dès qu’il est arrivé Flynn a pris le téléphone et a dit à l’ambassadeur de Russie, « vous savez ne faites pas de contre représailles trop fortes parce que on va changer d’administration et ce n’est pas du tout notre politique ». Et cette conversation a été entendue, écoutée par le FBI, ce qui était tout à fait extraordinaire que le FBI…
André Bercoff: Et illégal.
Charles Gave: illégal… et le FBI écoute la conversation que le conseil de la sécurité de Trump avait avec l’ambassadeur russe. C’est à partir de cette conversation qu’a commencé toute l’histoire que Trump et la Russie sont dans le même lit.
André Bercoff: Oui et alors je rappelle, justement, lié à ça: le 5 janvier réunion à la maison blanche, dans le bureau ovale avec Obama. Tout l’état-major d’Obama : les Power, Brennan, Comey, Susan Rice, Clapper et compagnie, c’est à dire la CIA, l’ONU, la sécurité nationale, etc. et il retient Comey, donc le patron du FBI, et il lui dit: «Est ce que vous croyez qu’il faut tout communiquer à l’équipe arrivante?», donc à l’équipe de Trump, notamment les choses sur la Russie. Comme il lui dit: «qu’est ce que vous en pensez», Obama lui répond: «écoutez attendez un peu, peut-être qu’il faut continuer l’enquête par rapport à ce qu’il se passe entre Flynn et l’ambassadeur russe». C’est à dire que dès le départ, on ne va pas tout dire à l’équipe arrivante, ce qui est quand même assez… assez…
Charles Gave: Non seulement on ne va pas transmettre tous les dossiers à l’équipe arrivante, ce qui est déjà un vrai scandale, mais ensuite on ne prévient même pas le président des États Unis que son conseiller principal pour la sécurité est sous enquête, ce qui est tout à fait, tout à fait extraordinaire! Et on prévient le président des États-Unis qu’on a un dossier, sur lui, complètement crapuleux où il aurait fait des bêtises sexuelles à Moscou, ce qui était un tissus d’âneries, un tissus d’imbécillités. Et ce dossier…
André Bercoff: Le dossier Steel, financé par Clinton et par les démocrates.
Charles Gave: Financé par Clinton, financé par les démocrates et qui était un tissus d’âneries. Le 6 janvier, le président, est prévenu de l’existence de ce dossier et le 7 janvier, Comey fait fuir le fil à la presse au Washington post, etc. Et ça commence à sortir dans la dans la presse. Alors que Comey savait que ce dossier était faux!
André Bercoff: C’est ça. Donc ce dossier était faux. Oui.
Charles Gave: Ils savaient tous que ce dossier était faux, y compris Obama. Donc il se servent d’un dossier dont ils savent qu’il est pourri pour discréditer Trump et c’est de là que part… Heu… ensuite il envoie deux agents le 24 janvier chez Flynn pour discuter gentiment… ils téléphonent à Flynn, en disant « on aimerait vous connaître, parce que maintenant que l’on va travailler ensemble », vu que c’était le FBI, « on aimerait vous parler ». Et deux types arrivent, posent des questions à Flynn sur ses conversations avec l’ambassadeur russe. Flynn leur dit qu’il ne se souvient pas, ce qui est quand même la moindre des choses parce qu’ils n’avaient pas à poser des questions. Et dans les jours qui suivent Flynn est attaquée parce qu’il a refusé de répondre aux attaques du FBI alors que cette enquête, cette visite, était complètement illégale. On ne lui a pas donné ses droits, comme on le fait normalement, vous le savez. Il n’était pas accompagné d’un avocat; et donc tout le procès de Flynn qui a ensuite suivi, était fait sur des choses illégales. C’est à dire que le FBI a commis…
André Bercoff: Un piège?
Charles Gave: Oui, c’était piège pur et simple pour le faire tomber.
André Bercoff: Un piège tendu par le FBI… et ensuite, et ensuite, donc, Charles Gave, il y a effectivement cette enquête de Mueller, l’ancien patron du FBI, ancien patron avant James Comey, qui a duré deux ans et demi et qui conclut à RIEN! Pas l’ombre du commencement d’une preuve c’est quand même…
Charles Gave: Et ils le savaient au bout de trois mois mais ils ont essayé de tenir le plus longtemps possible avec l’enquête de Mueller pour que Trump perde les élections au Congrès, en novembre dernier. C’est à dire qu’ils ont fait peser cette espèce de menace. Vous savez, regardez, il y a toute une série de braves gens qui ne pouvait pas voter pour Trump parce que c’était un agent russe. Et donc, tout ça, si vous voulez, ça a été un vrai complot. Et dans ce complot vous trouvez, non seulement, l’administration Obama mais aussi toute une série du personnel politique américain dont un homme qui s’appelle Schiff, qui est l’un des éminents représentants du parti démocrate. Adam Schiff, de la chambre des représentants. Vous trouvez, à peu près, tout le gratin démocrate. Il s’agissait d’une tentative de garder le pouvoir par des gens qu’on appelle, quelque part, l’ÉTAT PROFOND.
André Bercoff: oui, effectivement, d’où la tentative de destitution. Et il faut rappeler que pendant tout ce temps là, ça a duré 2 ans et demi, 3 ans. C’est à dire, imaginez à présent un président de la république, que ce soit Macron, Hollande, Sarkozy, qui ont eut des attaques et qui ont des attaques; mais du matin au soir toute la presse, à la radio, à la télévision, disons à 90% sauf deux ou trois exceptions, qui le traite de comploteur, qui le traitent d’agent russe qui le traite de valet de Poutine que le traite de tout ça et qui disent qu’il faut qu’il soit impeach, destitué!… ça n’a pas marché, apparemment.
Charles Gave: Il faut qu’il soit impeach! Mais le plus extraordinaire, c’est qu’il y a des documents qui viennent de sortir que je trouve tout à fait amusants. C’est que le chef de la CIA, le chef des services secrets aux renseignements, monsieur Adams Schiff, chaque fois qu’ils étaient interrogés par une chaîne, ils disaient nous : «avons les preuves objectives que monsieur Trump a eut des contacts avec la Russie». Donc ils avaient des preuves que c’était un traître, oui et ils n’arrêtaient pas de le dire en public. Mais quand ils ont été auditionnés sous serment par le Congrès, à ce moment là, à chaque fois, ils ont dit «nous n’avons aucune preuve». Donc, les gars disaient au public «on a toutes les preuves» puis quand… – parce que quand vous mentez sous serment devant le Congrès, aux États Unis, c’est la prison. C’est la prison à vie, vous ne sortez plus de taule. Donc vous aviez ces gars qui mentaient comme des arracheurs de dents et qui sont maintenant stipendiés, si je peux dire, par toutes les grandes chaînes du style CNN, etc. ils sont tous conseillers spéciaux auprès de ces chaines là!
André Bercoff: Ah oui! En plus!
Charles Gave: Donc vous avez une complicité des chaînes incroyable!
André Bercoff: Restez avec nous, on va continuer, c’est passionnant, avec cette petite pause. À tout de suite
…
Alors, effectivement, Je vous dit… c’est la matière… c’est hallucinant, c’est la matière de plusieurs films qui vont sortir d’ici quelques années. Charles Gave, on démonte un peu la mécanique mais, quand même, tout à fait hallucinatoire, on pourrait dire. Et ces choses sont en train de sortir, les documents sont déclassifiés. Qu’est ce qui peut arriver maintenant. Qu’est-ce qui peut, et va, arriver maintenant. À votre avis?
Charles Gave: Alors il faut planter le décor. Vous avez le ministre de la justice, monsieur Barr qui a pris un procureur, tout à fait respecté aux états unis, monsieur Dhuram qui est chargé de mener l’enquête (parce-que Barr, étant un homme politique, il ne voulait pas que l’on dise qu’il cherchait à détruire les démocrates). Donc ce monsieur Durham travaille sur le dossier depuis un certain nombre de mois. Ça fait à peu près un an et, à ce dossier, aussi curieux que cela paraisse, vous y trouvez beaucoup de services secrets étrangers, mêlées. C’est à dire, il y a les services secrets anglais qui ont l’air d’être dans le complot jusqu’au cou, l’Australie également, les italiens, ça paraît aussi plausible. Donc ça a été, vraiment, une espèce de conjuration des services secrets menée par la CIA et le FBI pour faire tomber monsieur Trump .
Maintenant, qu’est ce qui peut se passer. Logiquement si il y a eut crime, et il semble de plus en plus évident qu’il y a eu crime, il y a un certain nombre de personnes qui vont se retrouver devant les tribunaux et qui vont aller en taule. Et la question essentielle, c’est: est-ce que Obama et Biden, le président et vice-président, qui sont tous les deux mouillés jusqu’au cou, surtout Biden d’ailleurs qui a demandé à avoir des écoutes sur le général Flynn, ce qui est très étonnant, qu’est-ce qu’il en avait à foutre!? Monsieur Biden s’intéressait beaucoup à l’Ukraine…
André Bercoff: On va en parler, je vous réserve un petit cadeau, Charles Gave. Mais allez-y.
Charles Gave: Oui? Et donc le problème c’est que traîner devant les tribunaux un ex président des États Unis ou un ex vice-président… ça c’est déjà passé pour le vice président de Nixon qui avait été en taule pour corruption avant l’affaire du WaterGate. Mais ça sera un énorme, un énorme scandale avec toutes les répercussions politiques, parce qu’on va dire que c’est du racisme, vous savez, parce que Obama est noir ou, je n’en sais rien, donc j’imagine qu’il y a un certain nombre de gens qui vont dire, bon ben écoutez, on sait qu’ils sont coupables mais…
André Bercoff: Oui, «passons l’éponge»
Charles Gave: Passons l’éponge sur ces deux là mais sur les autres, je ne pense pas.
André Bercoff: Sur les autres, sur les anciens du FBI, de la CIA, de la justice, ceux-là risquent de tomber.
Charles Gave: Ils risquent de tomber mais alors le problème c’est que si ils tombent en disant que c’est Obama qui leur a donné l’ordre, pour essayer de sauver leur peau alors, à ce moment là, ça sera difficile d’exonérer Obama. Il faut qu’ils tombent en se taisant. Vous savez, aux États Unis, vous avez ce qu’on appelle le Plea Bargain, c’est à dire que le juge d’instruction vient vous voir et vous dit «bah écoutez si vous dénoncez le gars au dessus de vous, à la place de faire 30 ans de taule, vous en faites 3 ans!
André Bercoff: Oui, c’est ça, c’est ça. C’est vrai que c’est… et certains l’utiliseront. Mais justement Charles Gave, je vous ai réservé, comme on dit, pour la bonne bouche… vous avez parlé de Joe Biden, alors vice-président, qui a ordonné des écoutes du général Flynn. Joe Biden, qui est actuellement, il faut le rappeler, le candidat démocrate à la présidence de États Unis puisque les élections auront lieu en novembre. Eh bien, on a le coup de téléphone déclassifié que Joe Biden à donné à Petro Porochenko, le président de l’Ukraine. Je rappelle que le fils de Joe Biden, Hunter Biden, avait été accusé d’avoir un poste dans une grande firme pétrolière Ukrainienne, à 50000$ par mois, je ne parle pas de la chine qui avait déjà fait un gros scandale. Eh bien, Biden avait demandé l’éviction, demandé hein, lui, Biden vice-président des États Unis, l’éviction du procureur général qui enquêtait sur l’histoire de son fils et voici, très rapidement, un extrait de la conversation de Joe Biden, ancien vice-président et actuel candidat démocrate à la présidence des États Unis, avec l’ancien président ukrainien, Petro Porochenko, écoutez :
(appel de Biden en anglais)
André Bercoff: Voilà! Et ça, c’est pas fabuleux? Ça, ça ne vaut pas tous les témoignages? Voilà ce qu’il lui dit:
«Merci monsieur le président d’avoir viré Shokin…» (André Bercoff: Viktor Shokin c’était le procureur général ukrainien qui enquêtait sur son fils, Hunter Biden)… «Voilà. Vous avez mis un nouveau procureur général. Bravo! Eh bien, maintenant, je suis un homme de parole et vous allez recevoir le milliard de dollars de prêt que les États Unis vous ont promis… » (André Bercoff: Mais attention milliards de dollars ce n’est pas de la poche de Biden, hein? c’est le contribuable américain. Eh bien maintenant que vous avez changé de procureur général, eh bien tant que vous êtes débarrassé de ce crétin, de ce salaud qui inquiète et qui osaient enquêter sur mon fils, eh bien, le milliard de dollars, vous allez l’avoir.)
Charles Gave, ça s’appelle quoi, ça? Dites-moi.
Charles Gave: Ben ça s’appelle de la corruption et, en principe, si vous voulez, dans des temps anciens les rois de France vous envoyaient dans un fort où vous restiez très très longtemps; dans des temps encore plus anciens on vous exécutait place de la grève. Donc il n’y a pas de crime plus horrible que celui de la corruption et de la concussion parce que c’est de là concussion. Monsieur Biden cherchait à s’enrichir.
André Bercoff: Mais dites-moi, il peut rester, comme ça, candidat à la présidence?
Charles Gave: Eh bien je crois que la manœuvre des démocrates, si j’ai bien compris, ce ne sont que des supputations, soutiennent Joe Biden qui est en train de devenir gâteux. Il a la maladie d’Alzheimer. Ils pourraient dire, en août, au moment où la convention démocrate sera réunie, « eh bien non! Il ne peut pas être présenté aux élections pour des raisons de santé » et on sortirait Michelle Obama du tiroir en disant, regardez, on va mettre Obama, comme ça on va se retrouver dans les années Obama, ce qui était quand même beaucoup mieux. Mais il est évident que si Obama va en taule, ou si il risque d’aller en taule, la manœuvre risque d’être un peu difficile à exécuter parce qu’elle ne pourra pas dire, heu, vous voyez ce que je veux dire, non? Il y avait une manœuvre pour mettre une espèce d’homme de paille et pour que, dans le fond, le candidat désigné par le parti démocrate le soit par les autorités du parti démocrate qui sont toutes l’équipe de Clinton. On appelle ça, aux États Unis, la machine Clinton. Mais, ce qu’il va se passer, c’est que Sander va revenir en tête en disant «ben écoutez, c’est moi qui doit être le candidat démocrate, ce n’est pas Michelle Obama. Alors, à ce moment là, ils ne vont pas être dans la panade…
André Bercoff: Oui, on va suivre tout cela, merci Charles Gave. Merci, ce n’est que le premier épisode, en tout cas, l’un des premiers épisodes…
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André Bercoff,
Journaliste et écrivain, il anime l’émission « Bercoff dans tous ses états », « Parlons vrai » sur ? Sud Radio.
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