PR. MONTAGNIER: UN MONDE DE FOUS!

♦ “QUELQUE CHOSE QUI PEUT FAIRE DU BIEN À DES GENS, LES EMPÊCHER DE MOURIR, ON NE LE PRESCRIT PAS EN FRANCE.”

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Transcription de la vidéo

Pierre Barnérias: Professeur Luc Montagnier, que pense le prix nobel de médecine que vous êtes quand vous voyez l’état de notre planète aujourd’hui qui se couvre d’un masque?

Pr. Luc Montagnier: Écoutez, il y a deux visions possibles. La vision optimiste et la vision pessimiste. Pessimiste, c’est qu’on va à la catastrophe, à la fin de la civilisation dans quelques générations. Et, bon, j’espère qu’on ne va pas y arriver.

Pierre Barnérias: Pourquoi et comment on irait à la fin de la civilisation?

Pr. Luc Montagnier: Mais parce que la civilisation actuelle a perdu ses valeurs si vous voulez, elle est dominée par l’argent, par l’économie. Les jeunes se demandent ce qu’ils font dans cette cette galère. C’est une galère incroyable. Alors voilà donc la situation mauvaise et la bonne situation, c’est que l’on n’a jamais été aussi haut dans le développement. Une espèce animale domine le monde, c’est nous. Alors il y a quelque chose qui s’est passé.

La moitié de la population humaine, maintenant, est dans les villes, dans le béton. Pour un jeune, je crois, c’est affolant. Il ne voit plus le vert, il ne voit plus les animaux, il ne voit plus rien. Et pourquoi existe-t-il!? Il se le demande. Comme vous je m’étonne qu’on soit dans un monde de fous. Un monde de fous! C’est à dire que la science donne des vérités, on ne croit plus à ces vérités. On transforme la vérité selon les besoins de l’économie. Et donc, voir un ministre de la santé français interdire un médicament qui semble agir sur ce fameux virus dont vous parliez tout à l’heure, c’est absolument étonnant, absurde. Et bien que les journaux scientifiques se soient rétractés, lui ne s’est pas rétracté, il continue.

Alors qu’est-ce qui nous gouverne? Vous voyez, c’est un monde de fous. QUELQUE CHOSE QUI PEUT FAIRE DU BIEN À DES GENS, LES EMPÊCHER DE MOURIR, ON NE LE PRESCRIT PAS EN FRANCE. LES MÉDECINS N’ONT PAS LE DROIT DE LE PRESCRIRE.

Pierre Barnérias: Ce fameux virus, on a l’impression que personne ne veut en savoir un peu plus. Vous avez dit sur des plateaux de télévision qu’il avait été, quand même un petit peu, aménagée par la main de l’homme…

Pr. Luc Montagnier: D’abord c’est un virus qu’on peut très bien connaître, tous les moyens, maintenant, moléculaires, permettent d’en savoir beaucoup sur ses gènes et cetera.

J’ai été virologiste, je suis toujours virologiste, et j’ai travaillé notamment sur les virus ARN. Comme matière génétique cet ARN est très proche de l’ADN mais n’est pas l’ADN. Et le virus corona est dans les tailles moyennes. Comme c’est associé à un syndrome respiratoire en Chine, il est très bien étudié par les chinois. Donc on est assez habitués à ce virus sauf que ce virus est particulier, il a reçu ce qu’on appelle des insertions, des petits bouts d’ARN venant d’un autre virus ou même par une synthèse chimique. Donc on commence à le connaître mais la vérité a du mal à passer parce que les auteurs, eux mêmes, ne veulent rien dire. Ils ont ordre de ne rien dire.

Pierre Barnérias: Ordre de qui?

Pr. Luc Montagnier: Eh bien du gouvernement chinois, il faut le dire n’est ce pas? Je crois que c’est une erreur du gouvernement chinois d’avoir voulu cacher la vérité parce que plus on cache, plus les gens pensent qu’on a quelque chose à cacher de mauvais et il vaudrait mieux admettre que ce virus était en partie fabriqué, qu’il s’est échappé d’un laboratoire de haute sécurité. Bon, c’est une erreur humaine mais pas les responsables immédiats, si vous voulez on peut dire que c’est tout le monde qui est responsable de ce monstre qui a été créé.

Pierre Barnérias: Pourquoi on n’en parle pas de cette création? Pourquoi on refuse d’entendre ce message?

Pr. Luc Montagnier: Parce qu’il y a ce qu’on appelle en anglais un cover up (couverture) général. Ça c’est extraordinaire, c’est à dire que même les scientifiques sont achetés. Même les scientifiques américains, français, anglais. Ils disent presque tous d’un même élan: « c’est un virus qui a été produit par la nature ». C’est faux. C’est faux et ils le savent très bien. Mais alors, justement, c’est là qu’il y a un grand mensonge et il faut se demander pourquoi. Se demander pourquoi, quelles sont les raisons. Il y a d’abord l’argent, ils sont certainement payés pour dire ce qu’ils disent et s’ils ne le disent pas ils vont peut-être perdre leur position. Il y a la peur de perdre sa carrière, si vous voulez, en reconnaissant la vérité. C’est quelque chose d’extraordinairement mauvais pour la science. Je pense qu’il y a aussi toute une pression médiatique.

C’est un système compliqué maintenant mais que l’on peut bien démonter, c’est à dire qu’il y a les vérités scientifiques qu’on ne veut pas admettre, on les cache parce que le gouvernement chinois refuse cette vérité. Il fait tout pour cacher, pour détruire les preuves qu’on a à portée. Donc, en fait, on saura vraiment la vérité que si les équipes chinoises, elles-mêmes, la reconnaissent. Ça peut venir un jour mais ça peut prendre du temps. Et pendant ce temps là on continue à croire quelque chose qui n’existe pas.

Pierre Barnérias: Selon vous, est-ce que vous pensez vraiment que dans quelques semaines, voir quelques mois, on va nous proposer un vaccin et que ce vaccin va être obligatoire? Quel est votre avis là-dessus?

Pr. Luc Montagnier: D’abord je ne suis pas anti-vaccins et je ne suis même pas anti-pharmaceutiques non plus. Je pense que l’industrie pharmaceutique fait de très bonnes choses.

Pourquoi cette focalisation sur le vaccin? Parce que, là aussi, il y a un problème de rentabilité. Alors il y a des firmes qui vont, disent-elles, le vendre à prix coûtant et d’autres vont faire des bénéfices. Mais enfin je pense que le côté économique, si vous voulez, de cette affaire, est très important. Et alors le problème, c’est que les vaccins, parfois sont mauvais, il faut dire, je le dis et ici, vraiment, il faut le dire très fort, c’est que si vous avez quelqu’un qui est atteint par le covid-19, si vous le vaccinez contre la grippe, vous risquez de le faire mourir dans les jours, les semaines, qui suivent. Si vous avez quelqu’un qui a une chimiothérapie bien équilibrée contre un cancer, vous le vaccinez contre la grippe, vous allez le tuer aussi très rapidement. Il faut dire ça! Il faut dire que les vaccinations interférentes sont très mauvaises. Donc ceci doit être retenu.

Deuxièmement pour un ►vaccin, je le répète, il peut être mauvais, il peut être bon mais il faut le démontrer et ceci prend du temps. il y a des exemples en Italie du nord, notamment, on a vacciné contre la méningite toute une population et c’est là que l’on a vu que le pic des morts a augmenté de façon très importante.

JE CROIS QU’UN VACCIN, PAR DÉFINITION, COMME LES MÉDICAMENTS, NE DOIT PAS TUER, NE DOIT PAS AVOIR D’EFFETS SECONDAIRES AU POINT DE TUER LES GENS. ET JE CROIS QUE LES VACCINATEURS OUBLIENT, OUBLIENT CE PRINCIPE D’HIPPOCRATE: NE PAS NUIRE. CE SONT DES MÉDECINS QUI VACCINENT DONC C’EST À EUX DE METTRE LA BARRIÈRE ÉTHIQUE.